Pour faire face à la Pyrale du buis, un papillon qui produit 3 à 4 générations de chenilles par an dévorant spécifiquement les bordures des rosiers pour assurer tous leurs cycles de reproduction, une solution diffusant une bactérie insecticide sera appliqué sur les rosiers mardi 2 mai. La bactérie insecticide utilisée ici est nocive uniquement pour les chenilles ravageant le rosier, et non pour les autres espèces. Mercredi 3 mai, un traitement à base de soufre sera appliqué pour prévenir les maladies spécifiques aux rosiers. Ces deux traitements entrent dans un cadre législatif très strict n’autorisant que les techniques de biocontrôle, c’est-à-dire des mécanismes naturels assurant la protection des végétaux
